Mercredi 6 septembre 2023 à la Chapelle de la Visitation, nous découvrons le travail de l'artiste Miguel Chevalier, avec son exposition digital cosmologies. On entre dans une salle où les vitraux sont calfeutrés. En arrivant, Quezac a vu plein de lumière, de toutes les couleurs.
A part les lumières, une splendide statue représentait Janus, réalisée par impression 3D en sable de silice et résine, représenté par deux visages opposés l'un à l'autre. Janus est un Dieu ambivalent qui regarde aussi bien devant que derrière, vers le passé que vers le futur. Inspirée de la sculpture antique grecque et romaine, cette double tête en voxels (pixel en 3D) traduit l'omniprésence de la culture numérique dans notre société et l'affirmation du numérique comme un art à part entière, dans la continuité de l'histoire de l'art depuis l'antiquité.
The Thinker et The Walker sont des sculptures réalisées également par fraiseuse numérique 5 axes.
The Thinker, "homme" robotisé venu d'ailleurs, au corps composé de milliers de voxels vert fluo, fait référence au Penseur de Rodin.
Comme indiqué sur le livret de présentation, The Walker représente un homme qui marche d'un pas sûr, dont le corps s'est métamorphosé en milliers de voxels (pixel en 3D). La posture de cet homme, tout comme son traitement et sa technique de réalisation, traduisent l'avancée de la culture du numérique de plus en plus présente dans notre société. Cette sculpture s'inscrit dans la continuité de l'histoire de l'art et de la sculpture du XXe siècle, avec l'Homme qui marche de Rodin, l'Homme en mouvement de Boccioni ou encore l'Homme qui marche de Giacometti. Figure en mouvement, Body Voxel - Walker symbolise l'homme du XXIe.
Pour Quezac, les deux œuvres étaient fantastiques.
Pour Mademoiselle, Walker n'est pas rassurant car on dirait la silhouette d'une vraie personne très grande qui impose par sa taille. Elle a préféré l'autre statue verte.
Elle a aussi apprécié les maillages cosmiques, jeux de faisceaux lumineux projetés sur toute la hauteur des murs. Lorsque l 'on marche devant il y a des capteurs qui reconnaissent nos mouvements.
Au départ, cela laissait Capitaine perplexe mais quand on lui a demandé si c'était de l'art, il a répondu "oui".
Cette exposition, qui sort de l'ordinaire, lui a plu. Elle a un coté magique. Sur le grand mur du fond on se prenait au jeu. L'artiste a programmé ses projections sur un ordinateur. Il y avait des formes géométriques et des traits lumineux de différentes couleurs. L'artiste veut nous faire comprendre que la technologie nous permet de faire des choses extraordinaires.
Cette exposition, qui sort de l'ordinaire, lui a plu. Elle a un coté magique. Sur le grand mur du fond on se prenait au jeu. L'artiste a programmé ses projections sur un ordinateur. Il y avait des formes géométriques et des traits lumineux de différentes couleurs. L'artiste veut nous faire comprendre que la technologie nous permet de faire des choses extraordinaires.
Dans la petite salle, il y avait des tableaux qui ressemblaient à des filets de pêche, fait par ordinateur, comme de la laine virtuelle. Il ne faut pas trop rester longtemps devant car cela éblouit les yeux. L'ordinateur peut aider dans le futur et guider les Hommes. Avec le recul, Capitaine trouve les projections intéressantes parce que l'ordinateur est à la fois mystérieux et de bonne compagnie.