Exposition BATEAUX-MONDE : MONOTYPES
La plupart des œuvres évoquent le Titanic et sont sous forme de monotypes teintés de bleu principalement.
Le bleu prédomine dans la majorité des œuvres de l'artiste.
La plus grande toile est faite de 8 lés de papier japonais principalement bleus et blancs avec une seule retouche de couleur rose. La technique utilisée consiste à enduire de peinture bleu des plaques de plexiglas qui sont progressivement frottées à la main et avec des chiffons ou des outils, pour ensuite les plaquer sur le papier japonais avec une presse.
La plus grande toile coûte 45 000 € et tient tout un mur de la salle d'exposition.
Les mythologies grecques et nordiques occupent une place importante dans l'imaginaire créatif de l'artiste.
Le bleu prédomine dans la majorité des œuvres de l'artiste.
La plus grande toile est faite de 8 lés de papier japonais principalement bleus et blancs avec une seule retouche de couleur rose. La technique utilisée consiste à enduire de peinture bleu des plaques de plexiglas qui sont progressivement frottées à la main et avec des chiffons ou des outils, pour ensuite les plaquer sur le papier japonais avec une presse.
La plus grande toile coûte 45 000 € et tient tout un mur de la salle d'exposition.
Les mythologies grecques et nordiques occupent une place importante dans l'imaginaire créatif de l'artiste.
Lors de la visite, Quezac a récupéré un "Flyer" où l'on peut lire l'expression de l'artiste:
"C'est comme si je partais en voyage sans vraiment connaître le but, en découverte.
Les émotions que suscite ma quête me tiennent lieu de guides. Ma démarche créatrice provoque en moi un état de perplexité devant ce qui apparaît et me pousse à m'interroger. Cet univers intérieur qui se dévoile petit à petit représenterait-il un fragment de quelque chose de plus vaste et de plus universel?"
"C'est comme si je partais en voyage sans vraiment connaître le but, en découverte.
Les émotions que suscite ma quête me tiennent lieu de guides. Ma démarche créatrice provoque en moi un état de perplexité devant ce qui apparaît et me pousse à m'interroger. Cet univers intérieur qui se dévoile petit à petit représenterait-il un fragment de quelque chose de plus vaste et de plus universel?"
Coquillage a trouvé l'exposition très jolie avec les bateaux naufragés et fantomatiques, des créatures mystiques.
Elle est rentrée dans l'univers de l'artiste. Elle a aimé une œuvre en particulier: une épave de bateaux qui vole dans les airs au-dessus de bâtiments.
Elle est rentrée dans l'univers de l'artiste. Elle a aimé une œuvre en particulier: une épave de bateaux qui vole dans les airs au-dessus de bâtiments.
Capitaine a trouvé l'exposition très belle avec une jolie présentation de Delphine, la médiatrice culturelle. Effet de surprise en découvrant les œuvres à notre arrivée. Cela suscite des émotions étranges … Bref
Oui l'exposition nous interroge …
L'artiste a beaucoup voyagé pour s'inspirer d'histoires anciennes, de légendes, de mythes et mythologies. L'artiste nous fait voir et comprendre que le monde marin est fantastique, rempli de créatures bioluminescences, à respecter et à aimer. Les épaves des bateaux, résultat d'accidents du passé, sont devenues des habitations pour de multiples poissons.
La mère de l'artiste lui a expliqué les histoires de bateaux coulés et des naufrages. Cela a pu l'inspirer et trouver son univers. Pour Capitaine, on se croirait dans un monde fantastique, surréel, surnaturel, d'un passé lointain et historique, des contes antiques avec des montres.
Ces bateaux qui ressemblent à des véhicules de l'espace, comme figés, sont très présents dans un des tableaux. On voit un bateau fantôme avec une soucoupe qui brille au dessus, éclairant et cherchant des rescapés.
Un temps d'arrêt pour nous.
Capitaine, Mademoiselle, Coquillage, Quezac et Photographe
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