L'écho des profondeurs

Mercredi 15 novembre, nous sommes allés admirer, à la Chapelle de la Visitation, l'exposition "l'écho des profondeurs", de l'artiste Emmanuel Régent. 

Emmanuel Régent a une technique particulière. En premier lieu, il met une sous couche blanche sur la toile rugueuse. Ensuite, il superpose les différentes couleurs choisies avec un rouleau de peinture. Il met une première couleur qu'il laisse sécher. Puis une deuxième, une troisième, etc... Lorsque la toile est sèche, il utilise un outil surprenant: une ponceuse. Cela lui permet de révéler les couleurs cachées. 

Emmanuel Régent a donné des prénoms de femmes à tous ses tableaux. Il a choisi des femmes qui ont marqué sa vie. Par exemple Barbara fut la première à l'exposer à Genève.

En entrant dans la galerie, Quezac a été attiré par la toile Angèle. C'est le prénom de sa grand-mère.
Elle est magnifique, de rouge vif principalement. On y trouve aussi les couleurs jaune, orange, bleu et du vert. C'est la toile la plus grande et le rouge est explosif.



Naomie et Fabienne sont deux toiles qui ont interpelé Quezac. Fabienne fait penser à un sablier, d'autres ont dit à des stalactites et stalagmites. Naomie fait penser à un électrocardiogramme.


Pascale est une toile qui fait penser pour Capitaine à un volcan en éruption. Sur la toile des petits trous ont été formés suite au ponçage.
L'artiste Emmanuel Régent aime faire de la plongée sous-marine en apnée. Il pratique cette discipline régulièrement entre autre en Méditerranée. Il plonge jusqu'à 15 m de profondeur et remonte régulièrement des petits morceaux d'épaves non classés historiquement. Il a exposé des morceaux de tailles moyennes qu'il avait remontés et un très grand morceau de fibre de verre remonté avec l'aide d'un autre plongeur.
Seule la nature et la mer ont créées ces œuvres là de l'exposition contrairement aux autres œuvres.
Il vit à Villefranche-sur-Mer et il est né en 1973.

Certaines œuvres ressemblent à des images de sonar de bateaux. 
L'artiste adore l'océan et faire du bateau. L'idée d’œuvres façonnées avec la ponceuse lui est venue de l'entretien de son bateau avec ce même outil.

Photographe a préféré la toile Caroline qui ressemble vraiment à une vraie galaxie. L'artiste est passionné de nébuleuses et autres objets célestes.
Naomi est la toile préférée de Mademoiselle par ses couleurs et la forme. Elle est intéressante et très colorée, ce qui lui plait. 
  
A chaque expédition scientifique, Agnès B.,  demande à un artiste de monter sur le bateau Tara Océan, en résidence. Emmanuel Régent a été convié et en a profité pour  regarder le ciel, le mémoriser, pour faire de belles toiles.  
Les petits tableaux sur bois expriment son art, sa façon de voir le ciel sans aucune pollution, des souvenirs  des voyages. Ces œuvres  ressemblent à l'espace cosmique. C'est joli, c'est comme le début de l'univers.
Cela nous fait penser que nous sommes petits  dans ce monde. C'est fantastique et étonnant.    
Capitaine, Photographe, Mademoiselle et Quezac
 
   
   





MADAGASCAR...



Vendredi 13 octobre, à Thonon à 14h30, nous allons visiter une exposition à la galerie l'Etrave, à la MAL. Nous avons eu une présentation du photographe-artiste Pierrot Men, sur  l'île de Madagascar. Son père est originaire d'Asie, sa mère est franco-malgache. Il vit toujours à Madagascar. Il a 69 ans. Il utilise un Leïca, appareil photo reflexe. 

Une exposition  très jolie et triste car certains visages étaient songeurs. Mais nous avons vu aussi des enfants  joyeux, les traditions des habitants, leurs  coutumes  ancestrales et spirituelles. C'est important pour eux.

Nous avons apprécié l'exposition qui est en partie en couleur et aussi en noir et blanc.

Il y avait trois espaces différents pour exposer les photographies dans la gamme noirs et blancs : une sur la déforestation, une sur la sécheresse et une sur les enfants. 

La coupe des arbres permet aux habitants de Madagascar de faire du charbon et d'avoir plus de terres agricoles. Mais cela aggrave la sécheresse. La partie sud de l'île n'avait pas eu de pluie depuis 3 ans. De plus, les habitants sont obligés de faire plusieurs kilomètres pour trouver de l'eau


Il y avait un petit film pour compléter l'exposition qui montraient d'autres photos, accompagnée d'une très belle musique calme et sereine. La vidéo était passionnante. On a vu un portrait de Jésus Christ, un cadre sur le vélo d'un enfant, une maison moderne avec des chaussures suspendues.

Chaque  photographie a son  histoire:
 
Deux enfants  dans une flaque d'eau avec leurs visages montrant leur  joie


Une photo d'un  enfant portant son petit frère avec une canne à sucre à offrir pour la fête des pères













Des tas  de foins   sur des vélos qui cachent les personnes. On ne voit que leur bras. Je n'aurai pas pensé qu'on puisse mettre du foin sur un vélo... En Haute-Savoie, nous le mettons dans une fourgonnette, un char tracté par un tracteur.    



Dans le lac, un enfant au milieu de nénuphars



Un  baobab  avec deux enfants sur une branche. En parlant de baobab, une autre photo montre deux hommes qui promènent leur troupeau de buffles à travers la savane, au milieu de baobabs
















Un groupe de personnes en blanc qui avancent vers l'inconnu comme des fantômes. 


 
Par tradition, les femmes pêchent des bichiques, poissons encore plus petits que nos filets de perche.



L'île ressemble à un pied: c'est très  étrange.


La place de l'humain et des enfants est très importante pour le photographe Pierrot MEN. Son regard  lui a permis de faire une belle exposition, bienveillant sur les habitants, sur l'île. Il est à l'écoute des histoires des personnes rencontrées et photographiées. 
Ces photographies nous donnent des émotions. Elles sont toutes intéressantes, remplies de réalité, d’histoires. Elles sont incroyables de simplicité et nous touchent.
C'est une jolie  exposition de l’artiste.
Félicitation et bravo !






Photographe, Quezac, Mademoiselle et Capitaine



Fondus du Macadam

 
Mercredi 2 aout, nous voilà parti au premier spectacle des Fondus du Macadam, 27e édition. Nous avons pris le funiculaire pour rejoindre la cour du Château des Rives au port de Thonon. Pour tous, c'était une première dans ce lieu. 

A peine rentrés dans l'enceinte, on nous propose un petit pique-nique. Rien de tel pour nous mettre dans l'ambiance du spectacle d'improvisation théâtral Les Pique-Niques du Baron. Avec quelques morceaux de fromages et de charcuterie, des fruits, accompagnés d'une musique d'ambiance joué au piano, nous étions dans les meilleures conditions pour apprécier le spectacle. 

Soudain le Baron Heinrich Von Rivezenuvalt arrive et commence à nous narrer ses souvenirs dans ce château. Mais ses souvenirs lui font défauts. Il fait alors appel au public pour l'aider à se remémorer. C'est ainsi que 8 joueurs, répartis en 2 équipes, improvisent avec les souvenirs imposés. 

Tout d'abord, nous voilà embarqué dans une enquête où deux policiers recherchent un certain Perez, possédant un accent marseillais, sur Istres. Quant au cousin qui devait cacher le magot de diamant volé, se retrouve lace aux deux policiers ripoux qui récupèrent le magot. C'est ainsi que l'équipe de l'IGPN, menée par Perez, arrêtent les deux ripoux. 

Suivi d'une autre improvisation: une histoire d'amour impossible entre deux jeunes gens de deux familles de pêcheurs que tout oppose. Elle se termine en comédie musicale. 

Les comédiens ont bravé les rafales de vent et les quelques gouttes, pour offrir une improvisation de qualité, pleine d'humour, pour le grand plaisir du public. 


Après cette représentation, Quezac est allé (en solitaire) au parc de Montjoux. Voici ce qu'il a vu:

"J'ai entendu une mini-fanfare, un spectacle intitulé Nerds. Ils sont 4 musiciens avec comme instrument un saxophone, un trombone à coulisse, une batterie et un sousaphone. Des reprises nous ont enchantées.

Dans ce cadre magnifique, en attendant, les Tambours du Bronx, j'ai assisté à la Reine des Abeilles, TO BEE QUEEN. La Reine et Boris (Comédien) essuie un mouvement de grève pour le partage de la Gelée Royale. Entre rires et émotion, on assiste à une virtuosité acrobatique.

Puis vint le moment attendu les Tambours du Bronx. Malheureusement, je n'ai vu que 2 titres, à cause du temps. J'ai fini trempé, mais heureux."

crédit: Der menschenfresser Berg | Les Vrais Majors

Le lendemain nous sommes allé voir à Montjoux, une pièce de théâtre, le titre provisoire est "La Montagne". Voici ce qu'on pouvait lire sur le programme des Fondus pour présenter ce spectacle:
"Pour sa nouvelle création, la Compagnie les Vrais Majors Vous emmène dans les coulisses d'une création théâtrale, oscillant entre fiction et réalité, de la scène épique d'un alpiniste au sommet d'une montagne à la réalité crue du comédien qui à oublié son texte et son. Avec toujours des questions lancinantes :
- Est-ce bien judicieux ce titre en allemand ?
- Quel fromage utiliser dans la raclette ?
- Pourquoi Bjorg joue-t-il avec la mort ?"
crédit: Der menschenfresser Berg | Les Vrais Majors

Quezac s'est régalé. L'actrice était au-dessus des autres. Son jeu était tellement bon qu'on a vraiment cru qu'elle s'énervait sur les autres acteurs. Qui aurait cru qu'on pouvait faire des effets spéciaux au théâtre et en plein air ? Sachez qu'on peut imiter le bruit de la neige avec un vulgaire sac, qu'un bloc de polystyrène peut donner l'illusion d'une montagne enneigée, et que le public peut être embauché en tant qu'ingénieur son.


Vendredi 4 août nous avons vu Enano "THE HIP HOP CLOWN".
A travers des acrobaties et des danses déjantées, il nous raconte son amour, ses joies et sa folie. Sa cours de récréation n'a pas de limite. Il joue avec et pour le public. Il improvise, il invente et il nous séduit.
Il diffuse un vent de fraîcheur bienveillant et généreux tout droit venu du Venezuela. De quoi profiter de l'été tout en légèreté.
Il a fait appel au public pour participer en tant que DJ, danseurs et danseuses, sous forme de battle. Quezac a cru que la spectatrice, danseuse le temps du spectacle, était une actrice dissimulée dans le public.  Spectacle plein d'humour qui ont fait rire petits et grands quand il perd son pantalon et quand il chatouille la tête du public avec ses orteils. 
Au delà de la danse et la parole, il communiquait beaucoup avec les mains, tel un mime marceau. 

Le samedi à Montjoux, Quezac a été très surpris de voir des animaux remplaçant les comédiens.
"Quand les Poules joueront du Banjo", il a assisté à un concert des plus original, où les musiciens sont des animaux !!! 
Mais tout ne va pas se passer comme prévu !!!
C'est bien le moins que l'on puisse attendre ...

Rédigé par Quezac Et Colibri.


Ecomusée de la pêche et du lac

 
Mardi 25 juillet, nous avons profité d'une visite guidée du "petit" EcoMusée de la pêche et du lac, au port de Thonon-les-Bains.

Pour commencer, situons le lac Léman. Il se trouve entre la France et la Suisse. Certains l'appellent "le lac de Genève". Nous préférons l'appellation LAC LEMAN.

Ses dimensions sont impressionnantes:
- 72km de long entre Villeneuve (à côté de Montreux, en Suisse) et
Genève.
- 14km de large entre Evian-les-Bains et Lausanne. 
- La plus grande profondeur se situe en face d'Evian: 330m, la hauteur de la Tour Eiffel.
- Si le lac gelait, 4 milliards de personnes pourraient tenir sur le lac. Sa superficie représente 20 fois le lac d'Annecy. 

Plusieurs activités existent sur le lac: la baignade, les sports nautiques, le transport... Il y a 11 stations de pompage et 200 stations d'épuration. 
900 000 personnes boivent l'eau du lac, comme les Évianais. Leur robinet ne fournit pas l'eau de source, contrairement aux thononais, qui boivent de l'eau de source. 

Une autre activité phare sur le lac: la pêche. 
Les pêcheurs professionnels récoltent l'omble chevalier, la truite, le brochet, la perche, la féra, alors que les amateurs peuvent pêcher de la carpe, la silure, la tanche et le gardon. 

Alors qu'ils étaient 400 à l'époque, aujourd'hui, il y a 50 pêcheurs professionnels sur la côte française, contre 100 du côté suisse. 

 

L'évolution du métier et la mécanisation des bateaux expliquent cette diminution. Aujourd'hui, un seul homme peut partir le matin, alors que les anciens bateaux nécessitaient plusieurs personnes pour ramer. 



Le pêcheur n'a pas peur des éclairs mais des vents.
La pêche n'est pas autorisée du 15 novembre au 15 janvier pour favoriser la reproduction des poissons. 

Les pêcheurs déposent les filets en fin de journée. A 3h du matin, ils récupèrent les filets grâce aux drapeaux et aux falots (grande lanterne). Entre 7 et 8h, ils récupèrent et vident les poissons au port. A 10h, ils parent (étirer et réparer) les filets. Et enfin, 11h30, ils offrent les entrailles des poissons au lac, au grand plaisir de nombreux oiseaux, tels que le cormoran, la mouette, ... 

Le cormoran, qui peut plonger jusqu'à 30m de profondeur, est l'ennemi du pêcheur. C'est une espèce protégée mais des dérogations sont accordées pour le chasser. 
Il est demandé aux pêcheurs de pêcher des écrevisses pour réguler leur reproduction. En effet, les écrevisses sont invasives. 
Le travail reste rude. Il faut être passionné.


Créé en 1987, le musée est composé de plusieurs guérites, à côté de celles des pêcheurs. Une guérite nous présentait les poissons du lac dans deux aquariums, ainsi que les oiseaux du lac empaillés.


Nous avons dû faire attention à notre tête, surtout pour les grands, dans la guérite qui présentait la pêche d'antan avec les filets en coton, les aiguilles et les perles. Ces dernières sont faites à partir d'écailles d'ablettes. Aujourd'hui, on peut de nouveau en trouver dans une boutique à Thonon. 


Le musée explique l'importance de l'écosystème du lac, ainsi que la pêche respectueuse de l'environnement. Précisons qu'il y a une pisciculture à côté du port qui favorise la reproduction des poissons, principalement de l'omble chevalier. 

Cette sortie était très intéressante et riche en informations.

Rédigé par Mademoiselle, Capitaine, Quézac et Colibri.


exposition Miguel Chevalier

Mercredi 6 septembre 2023 à la Chapelle de la Visitation, nous découvrons le travail de l'artiste Miguel  Chevalier, avec son exposition digital cosmologies. On entre dans une salle où les vitraux sont calfeutrés. En arrivant, Quezac a vu plein de lumière, de toutes les couleurs. 

A part les lumières, une splendide statue représentait Janus, réalisée par impression 3D en sable de silice et résine, représenté par deux visages opposés l'un à l'autre. Janus est un Dieu ambivalent qui regarde aussi bien devant que derrière, vers le passé que vers le futur. Inspirée de la sculpture antique grecque et romaine, cette double tête en voxels (pixel en 3D) traduit l'omniprésence de la culture numérique dans notre société et l'affirmation du numérique comme un art à part entière, dans la continuité de l'histoire de l'art depuis l'antiquité.

The Thinker et The Walker sont des sculptures réalisées également par fraiseuse numérique 5 axes.



The Thinker, "homme" robotisé venu d'ailleurs, au corps composé de milliers de voxels vert fluo, fait référence au Penseur de Rodin.
Comme indiqué sur le livret de présentation, The Walker représente un homme qui marche d'un pas sûr, dont le corps s'est métamorphosé en milliers de voxels (pixel en 3D). La posture de cet homme, tout comme son traitement et sa technique de réalisation, traduisent l'avancée de la culture du numérique de plus en plus présente dans notre société. Cette sculpture s'inscrit dans la continuité de l'histoire de l'art et de la sculpture du XXe siècle, avec l'Homme qui marche de Rodin, l'Homme en mouvement de Boccioni ou encore l'Homme qui marche de Giacometti. Figure en mouvement, Body Voxel - Walker symbolise l'homme du XXIe.
Pour Quezac, les deux œuvres étaient fantastiques.
Pour Mademoiselle, Walker n'est pas rassurant car on dirait la silhouette d'une vraie personne très grande qui impose par sa taille. Elle a préféré l'autre statue verte. 
Elle a aussi apprécié les maillages cosmiques, jeux de faisceaux lumineux projetés sur toute la hauteur des murs. Lorsque l 'on marche devant il y a des capteurs qui reconnaissent nos mouvements.

Au  départ, cela laissait Capitaine perplexe mais quand on lui a demandé si c'était de l'art, il a répondu "oui". 
Cette exposition, qui sort de l'ordinaire, lui a plu. Elle a un coté magique. Sur le grand mur  du fond  on se prenait au jeu. L'artiste a programmé ses projections sur un ordinateur. Il  y avait des formes géométriques et des  traits lumineux de différentes couleurs. L'artiste veut nous faire comprendre que la technologie nous permet de faire  des choses extraordinaires. 


















Dans la petite salle, il y avait des tableaux qui ressemblaient à des filets de pêche, fait par ordinateur, comme de la laine virtuelle. Il ne faut pas trop rester longtemps devant car cela éblouit les  yeux. L'ordinateur peut aider dans le futur et guider les Hommes. Avec le recul, Capitaine trouve les projections intéressantes parce que l'ordinateur est à la fois mystérieux et de bonne compagnie. 



Collage Cosmic: des mondes improbables




Les lundis, à Thonon-les-Bains, les gentilles encadrantes ont proposé  une intéressante activité : LE COLLAGE. 

Le groupe a choisi  des magazines de plusieurs sortes  sur la science, la nature, la culture, la télévision, artistique … Bref, chacun et chacune  a déchiré ou découpé des images: animaux, personnage, paysage et d autres choses. Ensuite , nous prenons une image pour faire le fond (exemple paysage ou deux), puis  des personnages  pour les associer à celle de fond pour faire une seule composition, comme des histoires originales, cocasses, fantastiques, uniques, extraordinaires, rigolotes…  


Nous avons mis les réalisations dans des cadres et sous verre, exposées dans la vitrine du Local. Nous les en avons aussi affiché sur le mur, encadrés par des feuilles de couleur. 
Chaque collage peut ressembler à un montage fait par ordinateur qui interpelle les passants.



Le rendu est vraiment bien. L'exposition dans la vitrine peut plaire aux personnes extérieures. 

C'est une belle activité, avec de beaux moments ensembles. Chacun et chacune a exprimé ses goûts et montré ses talents artistiques. C'est une exposition hors du commun.
L'activité est une réussite!

Cela me rappelle mon enfance, quand j'étais enfant, maman découpait et collait des  images. Une dame  venait  écrire derrière, comme une nouvelle carte postale. Ce sont des bons souvenirs.

Rédigé par CAPITAINE

l'exposition de Maxime Duveau

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Mercredi 3 mai, à la Chapelle de la Visitation, la médiatrice Paola, notre guide nous a expliqué les techniques utilisées par l'artiste, Maxime Duveau. Ce dernier mixe de nombreuses techniques, photos colorées, des tampons et pochoirs qu'il fabrique lui-même, de la peinture, du crayon de couleurs ... 
Ce jeune artiste de 31 ans utilise son histoire et son parcours dans son œuvre. Il aime le cinéma  et aussi la musique. Il  a voyagé en Californie, à Los Angeles. Il a travaillé plus de 9ans et a étudié à Nice, à la villa Dassin, école des beaux-arts. Il s'inspire des lieux de son enfance: Conflans, l'Amérique et Thonon .

On voit des vitraux comme des timbres.

 

Cela surprend  et on cherche des  repères en noir et blanc puis en couleur.  Il aurait bien caché des  choses de sa vie.  Il envoie bien des messages abstraits. Il y a aussi beaucoup de travail.  L'exposition "Palimpsestes" montrent des puzzles et du collage  de peintures  gouaches ,des photos  coloriées ... tout un monde ! 




Il se sert  de ses photos de voyage pour mettre en valeur   des secrets de vie. Il utilise de l ordinateur, l'imprimante,  des pochoirs, du tamponnage   avec des moules  en caoutchouc. Les panneaux  donnent une impression de graffitis sur les murs. Cela ressemble à des négatifs photos.  Il mélange réel et  abstrait. Ces tableaux racontent l'histoire, propre à l'artiste. C'est très compliqué à comprendre à cause des accumulations d'image et de bric-à-brac, de façon chaotique mais structuré en même temps. 






Dans un des derniers tableaux, on voit une voiture et un personnage et on ne sait pas si c'est réel ou irréel. Un vrai casse-tête !!! 


Certaines choses sortent de l'ordinaire et d'autres donnent l'impression d'être extra et ordinaire!!!
Au départ, il y a une photo. Par dessus, il rajoute une autre photo ou de la peinture, ou autre chose ... 

Capitaine

Marie Morel


    


Le mercredi 17 mai, nous sommes allés voir l'exposition de Marie Morel, à la Galerie 29, à Evian-les-Bains.

Toute l'exposition se déroule autour de femmes célèbres, ou anecdotiques.

Nous avons pu contempler à la médiathèque d'Evian 7 panneaux, exposés ensemble pour une dimension totale de 21 mètres de long sur 1,13 mètre de haut.


Quezac n'a pas trop apprécié ce type de support.







Marie Morel représente près de 400 femmes qui jouent un rôle majeur dans l'histoire dans les domaines scientifiques, politiques, artistiques ou les grandes luttes sociétales, comme Rosa Parks et Mileva Einstein



Quezac se souvient particulièrement du portrait de  S
imone Louise le Pinet de Borde des Forest qui a inspiré l'expression "En voiture Simone" . C'est la première femme qui a obtenu son permis de conduire et la première femme pilote automobile.

Quezac trouve super de voir tous ces portraits en même temps. Pour Colibri, ces petits portraits lui rappellent la bande dessinée "Culottées" de Pénélope Bagieu.

Mademoiselle, Quezac, Colibri

Exposition Les Allobroges

  A Thonon-les-Bains, nous avons visité le musée du Chablais qui expose une partie de l'Histoire de France, de 1789 à 1815: l'Empire...